Il est demandé et exécuté la démolition
de la gare de Lautrec, au profit d'une coopérative
d'agriculteurs
accessible par l'ancienne cour de la gare. 1891
Un train en feu. Un accident de chemin de fer s'est
produit sur la ligne d'Albi à Castelnaudary.
Par suite du défaut de graissage, un train de voyageurs est arrivé en
feu à la gare de Lautrec.
Le premier moment de panique passé, on a éteint les flammes, ce qui a
occasionné un long retard.
le long dela "Voie Ordinaire n° 4de la Gare de Lautrec à la RN 83", actuelle route de Fustery.
La voie verte, aménagée sur
l'ancienne plate-forme ferroviaire, en fait autant.
Elle entame une courbe au
nord-est
afin de contourner la butte sur laquelle la cité médiévale domine
la plaine. Lelagunage naturel de Lautrec:
Le
lagunage est un procédé simple et rustique qui permet d'épurer les eaux
usées avant de les rejeter dans le cours d'eau le plus proche. Le
lagunage est dit naturel parce que son principe de fonctionnement est
proche des phénomènes d'auto-épuration que l'on retrouve dans les
rivières. La
station de lagunage de Lautrec, créée en 1993, respecte 4 principes : .Une
surface de terrain importante(10m² par habitant),
plane, ensoleillée, peu profonde (1,50 mètre maximum), et ce pour nous
faciliter l'activité photosynthétique : .Des
volumes de bassins conséquents afin de dégrader les matières organiques
pendant un certain temps de séjour (80 jours) ; .Un
certain dénivelé pour assurer le passage d'un bassin à l'autre .Un
sol argileux donc imperméable afin de maintenir les digues et les fonds
de bassins étanches.
1872
Le train
allant de Castres à Albi a
rencontré sur la voie,
près de
Lautrec,
un homme qui a été broyé par la machine.
Il a été constaté que ce
malheureux, dont les facultés mentales étaient altérées, s'était exposé
au passage du train pour accomplir un suicide qu'il avait tenté
plusieurs fois déjà d'exécuter.
"Par
curiosité"
un enfant de 13 ans
avait fait dérailler
un train de marchandises
Albi, 14 (A.F.P.). — L'auteur du sabotage qui, le 7 juillet dernier,
fit dérailler, près de Lautrec (Tarn), le train de marchandises
Castres-Albi, a été identifié.
Il s'agit d'un jeune garçon de Lautrec,
âgé de 12 ans qui, par jeu, pour voir "ce que ça allait donner", avait
déboulonné un rail.
La machine et le tender étaient sortis des
rails,
mais il n'y avait pas eu d'accident de personne.
du "chemin de Lautrec aux Nauzes", actuel "chemin de Montespieu".
1868
Lautrec,
Montespieu.
Un
important gisement est découvert en 1868 au
cours des travaux de la voie ferrée de Castres à Albi. Il se trouve à
l'Est de Montespieu (Est de Lautrec), dans
la tranchée même de l'ancien chemin de fer, dans un grès massif,
à passées micro- conglomératiques.
Les faunes recueillies par M. Zebrowski "conducteur de ligne" sont
données à Noulet la même
année, qui évoque le gisement dès 1870
(p. 333, pl. 1).
Ses faunes,
particulièrement riches et bien conservées, sont surtout figurées par
Stehlin (1904a, pl. XI et pl. XII) d'après les spécimens conservés au
musée de Toulouse.
Plusieurs
espèces nouvelles de mammifères proviennent de ce site, qui revêt ainsi
une importance patrimoniale majeure dans le Bartonien du Sud de la
France.
8 couronnes, dont 5 petites, et une
partie antérieure du museau, avec voûte palatine. En raison des
nombreux fossiles cités de ce lieu, il n'est pas inutile de préciser le
gisement : car le nom de Montespieu ne figure pas sur la carte
d'Etat-Major et n'est même plus usité dans le pays.
Il s'applique à une ferme, appelée
aujourd'hui Borie de Mas, du nom du propriétaire actuel, et situé un
peu à l'est de Lautrec, près de la
voie ferrée.
du "chemin de la Millette"
("chemin de la Bourriette à Saint-Clément", selon le cadastre).
1869
Accident arrivé aux cintres du viaduc supérieur de la Millette pour
cause de force majeure.
La première question à résoudre ici est
celle-ci. A qui faut-il
attribuer la cause des dégâts occasionnés aux cintres du viaduc de la
Millette dans la nuit du 1 au 2 mars 1869 ?
Est-ce à la force majeure
d'un événement imprévu ou à l'Entrepreneur qui n'a pas pris les
précautions nécessaires pendant le levage de la charpente.
Mais l'événement a eu lieu pendant l'opération pour ainsi dire. Toutes
les pièces étaient en place excepté les grandes croix de St André
devant relier les fermes entre elles.
Or la nuit arrive, l'obscurité
empêche de travailler et on est obligé de laisser pour le lendemain
l'achèvement de la pose des pièces restantes qui n'étaient pas placées.
Tout à coup un vent d'une certaine violence s'élève et met à bas toute
la charpente qui dans sa chute a eu plusieurs pièces brisées.
L'ensemble de ces circonstances me fait préciser que l'Entrepreneur
n'est pas cause de l'accident et que quelques précautions qu'il aurait
prises, la violence du vent aurait fait écrouler ces pièces toujours
moins isolées, avant que l'ensemble fut complètement affaissé.
Je
crois donc qu'il est impossible d'attribuer à l'Entrepreneur le fâcheux événement
comme cause de son imprévoyance. Je conclus donc que toutes les
dépenses de réparation de ces cintres et fournitures de pierres
nouvelles doivent être supportées par la Compagnie comme effet d'une
cause majeure que l'Entrepreneur ni personne n'a pu prévoir ni empêcher.
La seconde question à résoudre dans ce
chef est celle du montant de la
dépense pour la fourniture des pièces nouvelles et de la main d'œuvre
des charpentiers.
Le lendemain matin de l'événement, j'étais sur les lieux du désastre
pour examiner les dégâts.
De prime abord j'ai vu plusieurs pièces
brisées, mais à la reprise du travail, le nombre de pièces à remplacer
a été plus considérable qu'on ne l'a cru à la première inspection : poteaux, arbalétriers, poinçons se trouvent fendus à partir des
tenons, ces derniers brisés, quelques moises plus minces partagées en
deux.
Je pense qu'il faut admettre l'évaluation
de cette dépense
suivant la réclamation de l'Entrepreneur.
Le conducteur du 3ème tronçon soussigné
Toulouse 26
février 1872
La voie verte, en courbe,
s'insère entre des garde-corps en rondins de bois au-dessus desquels le
regard du randonneur peut se porter sur le clocher de l'église Saint
Clément
et sur le lieu-dit Brassac.
Les sources historiques relatives à la construction du génie civil de la ligne de chemin de fer reliant Castres à Albi sont concentrées dans les archives de la direction toulousaine de la SNCF.
Les documents, qui datent de 1868, sont classés au numéro actuel de la ligne : 736.
Les archives rassemblent des documents généraux (rapport de l'ingénieur de la Compagnie, Fig. 2, profil en long, et des textes administratifs et fonciers) ainsi qu'un dossier de construction pour chaque ouvrage d'art.
Le train se
présentait à la croisée de la "voie communale n° 24
Louis Passebosc, chef de gare à Lautrec, dit
qu'un coupon de retour de Castres à
Françoumas
a été retrouvé à Bordeaux. Ce doit être celui de Julien. Ni lui ni
aucun employé de la gare de Lautrec ne se rappelle avoir vu Julien et
sa victime le soir du 19 septembre.
Le
voiturier de la gare de Lautrec
n'a pas davantage vu Julien ce soir-là.
Mais il ajoute qu'un ou deux voyageurs pourraient passer sans qu'il les
aperçoive.
L'audience est suspendue à quatre heures et demie et reprise à cinq
heures.
Quelle est cette affaire, jugée
au tribunal d'Albi, dans laquelle apparaissent comme témoin le chef de
gare et le voiturier de Lautrec, et qui fait mention de la halte de
Françoumas ?
A son sujet, les journaux commencèrent par titrer "Le Crime de Lautrec".
1899
Hier soir, à 11 heures àToulouse,
M. Berge-Dessus, commissaire de police, recevait la visite d'une
sage-femme qui lui racontait qu'un individu nommé Julien, Henri-Louis,
âgé de 37 ans, originaire de Mazamet et demeurant à Lautrec (Tarn), lui
avait avoué que, le 19 septembre dernier,
il avait assassiné sa maîtresse, Félicie
Ducouaseau, âgée de 25 ans, originaire de Tarbes. Il
l'avait dépecée, avait fait brûler les chairs et enterré les ossements
dans sa vigne, au quartier Douzais, à Lautrec. Julien, qui se trouvait
à Toulouse, a été arrêté. Il a fait des aveux complets.
Au fil des jours et
des articles, le crime de Lautrec devient "Le Crime de Latour-Douzals". L'interrogatoire de Julien.
L'accusé répond avec un calme extraordinaire aux questions du président.
Il habite Latour-Douzals avec sa mère et sa sœur depuis la mort de son
père, c'est à dire dix ans environ.
C'est un placeur de Toulouse, à qui il s'était adressé qui lui avait
envoyé Félicie comme servante.
Julien dit que les sommes qu'il a envoyées à cette dernière,
lorsqu'elle eut quitté Latour-Douzals, doivent s'élever à 18.000 francs.
Il ignorait qu'elle vivait à Paris avec Germain...
La "voie communale n° 24", qui longeait le chemin de fer,
vire à droite et grimpe desservir Brassac avant de se raccorder à la
route de Vénès.
La voie verte, elle, se courbe vers la gauche
et passe la borne de son PR 27.
... 1899 Julien qui habitait à Lautrec (Tarn),
au château de Latour-Douzals, appartenant à un de ses oncles, avait
fait, il y a environ cinq ans, la connaissance de Félicie Ducousseau,
qui devint sa maîtresse.
Voulant s'en débarrasser, Julien l'envoya quelques temps après à Paris
et lui donna 7.000 francs à cet effet.
Félicie vint se fixer à Paris, où
elle habitait à Passy. Elle écrivit plusieurs fois à son amant en poste
restante pour lui demander de l'argent, mais Julien ne répondit pas. Le 19 septembre, Julien reçut à Lautrec un
télégramme daté de Montauban dans lequel son ancienne maîtresse lui
donnait rendez-vous à Castres dans un hôtel.
Julien s'y étant rendu,
Félicie lui réclama 8.000 fr., alléguant un pressant besoin et menaçant
son ancien amant, en cas de refus, de le tuer avec un revolver qu'elle
avait dans sa sacoche. Julien lui donna quatre-vingt francs et reprit
aussitôt le train pour Lautrec.
Arrivé en gare de cette ville,
il y rencontra sa maîtresse qui l'avait suivi.
Il était environ six
heures du soir, Julien et Félicie Ducousseau se
dirigèrent ensemble
vers le château, qui est isolé du village. A cent
cinquante mètres du
château, Félicie réclama instamment huit mille
francs à Julien et sur
le refus formel de celui-ci tira sur lui un coup de revolver
Julien, qui n'avait pas été
touché, saisit Félicie au cou, la jeta à terre
à moitié étranglée et l'acheva au moyen
d'un pieu trouvé là.
Puis il la
traina dans les communs du château séparés du logis principal,
dans des appartements servant de débarras entre la buanderie et un
atelier de menuiserie...
1925 Etaient en service au dépôt de Castres :
Série 1303 à 1370-Type 230, assurant le service voyageurs
express et omnibus sur toutes les lignes de l'étoile.
Série
4001 à 4018-Type 1400-machines assurant les trains Castres et Rodez. La
machine 140 A 908 destinée au musée des transports se trouve encore au
dépôt de Castres (1954).
Les autorails en service sur l'étoile de Castres appartiennent
au dépôt de Carmaux. Ce sont des ADX 2 de 600 CV.
Les vitesses limites sont les suivantes :
Sur les lignes de Castres-Albi et Castres-Castelnaudary, la vitesse limite est de 40 km.
Jugement d'expropriation pour cause d'utilité publique au profit de la compagnie concessionnaire du chemin de fer du Midi et du canal latéral de la Garonne.
211 Domaine public. Chemin de Combelasse à Manen, 2 ares 50 centiares.
Il s'agit là très probablement des terrains pris sur l'actuel "chemin du
col de Combelas" pour l'aménagement du passage à niveau, et des
parcelles proches pour l'édification
de la maisonnette de garde-barrière,
aujourd'hui démolie.
Pour l'heure, lecol de Combelasse
soutient les murs del'auberjouille,
un bed and breakfast, chambres, gîte, repas table d'hôtes.
Lieu-dit Manes [Commune de Lautrec.] : demande d’une halte (1870).
Faute de "Manes",
inscrit sur le cadastre de Lautrec, peut-être s'agissait-il de "Manen",
hameau voisin de Combelasse ? Les scanners ont parfois des
faiblesses.
la borne de son PR 25, à la croisée de l'ancien "chemin de Lautrec à
Frézouls" (Frézoulié), intercepté ici, jadis, par la ligne de chemin de fer à
1.330 mètres de la halte de Françoumas.
Le 8 février 2009, La Dépêche publiait un article sur la dernière garde-barrière du PN de Françoumas.
"Des
trains ! Oh que oui, j'en ai vu passer pas mal en 21 ans. Aujourd'hui
c'est plus calme. De temps en temps les marcheurs s'arrêtent pour
discuter, certains viennent même prendre un café".Rose Mas est une
figure du Lautrécois-Réalmontais. Elle réside à la "maisonnette"
située entre les deux villages. "En venant de Réalmont, c'est la seule
maison au bord de la route et de l'ancienne voie ferrée, à droite en
allant vers Lautrec".
Pendant 21 ans, de 1969 à 1990
elle était garde-barrière à la halte de Françoumas, lorsque les trains
circulaient encore sur la ligne Rodez-Castelnaudary, desservant les
gares de Carmaux, Albi, Laboutarié, Lombers, Vielmur, Castres, Revel…
Lorsque la ligne fut ouverte à la circulation des trains, le 15 décembre 1869, Françoumas n'était encore qu'un simple passage à niveau.
Depuis le 1erfévrier 1870, trois haltes sont ouvertes sur lasection de Castres à Albi : la première,à Mandoul, entre Castres et Lautrec ; la seconde, à Françoumas, entre Lautrec et Laboutarié...
Au-delà de 1945 plus aucun train de voyageurs ne circulait ; pouvait-on encore parler de "Halte de Françoumas", sinon à titre honoraire ?
La voie sautille le discret ruisseau de Vabre qui emmène avec lui, à
gauche de la voie, la ligne frontière entre les communes de Lautrec et
de Vénès.
UTM :31 T 432588 4841746
Entre ces stations de nombreuses haltes où le train "s'arrêtait
parfois", se souvient Rose. "Je n'habitais pas à la ''maisonnette'',
mais à deux kilomètres d'ici, poursuit-elle, je venais exprès deux fois
par jour, à 13 h 30 et 16 heures, à vélo, j'avais deux kilomètres à
faire et avec le vent ce n'était pas toujours évident. A deux reprises
je me suis retrouvée dans le fossé.
La Fédarié Basse
C'est que ça ne rigolait pas, il
fallait fermer les deux grosses barrières qui coulissaient sur des
petits rails. Heureusement les trains étaient à peu près à l'heure et
puis je connaissais les chauffeurs. Quelques kilomètres avant d'arriver
ils actionnaient le sifflet.
Aujourd'hui, Rose Mas vit toujours dans la "maisonnette" qu'elle a
achetée avec son mari en 1977.
La grande salle à manger servait alors à
stocker les marchandises que les trains déchargeaient. La cuisinière à
bois est toujours là, la pendule aussi avec le calendrier de La Poste
accroché au mur. Des souvenirs, Rose en a bien sûr de nombreux. Elle en
distille quelques-uns. "Un jour lorsque j'ai ouvert la salle j'y ai
trouvé un type. Qu'est-ce que vous faites-là ? Il était tout penaud.
Je suis ressortie pour aller chercher un bâton"
- Ne me battez pas, je
ne vous veux pas de mal, je suis un vagabond, je suis entré ici car
j'avais froid.
Autre souvenir : "La femme qui était garde-barrière
avant moi était une catin, les camions, les voitures s'arrêtaient. Une
fois un monsieur est venu me voir, je l'ai remballé en lui disant :
''Le monsieur qui a mis ça là (elle montre son alliance), il est
capable de faire ce que vous voulez faire."
En 1990, Rose Mas a pris sa retraite. "Je n'ai pas eu le temps de
connaître les barrières électriques, elles n'ont été installées que
huit jours avant mon départ, en fait je ne les ai utilisées qu'à deux
reprises". Une buvette
Dans la cuisine de la "maisonnette", la
température baisse. Rose enfourne quelques bûches dans le foyer. Ce
soir elle fera cuire les pommes qui sont déjà préparées et patientent
dans le plat.Depuis qu'il n'y a plus de trains, Rose peut entièrement
se consacrer à son jardin, à ses fleurs "je les adore" et à raconter
ses souvenirs de garde-barrière aux marcheurs qui empruntent l'ancienne
voie ferrée transformée en sentier de randonnée. "Le week-end, il y a
un monde fou, si j'avais 20 ans de moins j'ouvrirai une buvette. Bon,
il faut que j'aille faire un tour au jardin, mais je vais d'abord aller
mettre un tricot, il ne fait pas chaud avec ce vent."
d'un passage à niveau, dont il ne reste plus, dans les fourrés, que la plaque
de son numéro 83.
La maison de garde ne semble pas avoir survécu aux années 1950.
1895
Train
en détresse.
Le train de Castres à Albi, est arrivé, hier matin, en gare de
Laboutarié, avec un retard de plus d'une heure, occasionné par un
accident survenu à la machine ;
coupait à niveau le "chemin départemental n° 92 de Mouzens à Réalmont"
et s'arrêtait desservir la halte de Françoumas, où il était attendu à 6 heures 41 du soir.
Le patronyme "Mas" était répandu autour de Françoumas, ou le PN se transmettait dans la famille :
1907
Le compte rendu du Concours général
entre les meilleurs élèves des écoles primaires attribue une mention
honorable, avec 27 points, à Mas Ernestine, maisonnette de Françoumas, par Lautrec (Tarn).
La fille du ou de la chef de halte de l'époque ?
Castres 29 février.
Quatre bœufs qui s'étaient engagés
sur la voie, ont fait dérailler à Françoumas, le train de Castres à
Albi.
Plusieurs wagons sont sortis de la voie.
Les dégâts sont purement matériels.
Un établissement de facteur-receveur
sera ouvert au public dans la commune de Venès le 1er septembre
prochain.
Cet établissement sera desservi par la station de Françoumas.